Archives de l’auteur : Vette de Fonclare

A propos Vette de Fonclare

Professeur de lettres retraitée, a créé un site de poèmes dits "classiques", pratiquement tous voués à la Provence.

Trois kilos d’amour

Publié le 28 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Il pèse trois kilos d’amour : Un tout petit chat à la traîne En quête d’une bonne aubaine A idolâtrer pour toujours. Un minuscule chat perdu Qui cherche un humain adoptable, Avec bon toit et bonne table. Autres souhaits fort répandus … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans A la maison, Zooland | Laisser un commentaire

Le berger

Publié le 27 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Poème illustré par un tableau de : Hippolyte Flandrin (1809-1864) Assis sur un muret, il cisèle un morceau De bois pour s’occuper… Sur sa nuque bouclée, La brise soulevant ses mèches emmêlées Les a ébouriffées. Le garçon est très beau, … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans La Haute Provence | Laisser un commentaire

Le robot

Publié le 24 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Il était un robot en forme de poupée, Programmable à merci. En avait-on besoin ? On la paramétrait ! Et après : hop, au coin ! Quand elle avait servi… Repoussée ? Rappelée ? Machine fort commode, avec assez d’esprit Pour amuser le chef juste à … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans Questions ? | Laisser un commentaire

Fureur

Publié le 23 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Poème illustré par un tableau de : Claude Monet (1840-1926) Il fait calme, on est bien au bord de la rivière. L’hiver est arrivé, mais il n’est que douceur, Bien que le ciel empreint d’une étrange rousseur Soit un peu … Continuer la lecture →

 
 
 
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Le refuge

Publié le 22 septembre 2014 par Vette de Fonclare

SONNET : Lorsqu’il veut oublier qu’en une autre saison Dormait auprès de lui sa charmante Juliette ; Quand la honte s’en vient jouer les trouble-fête, Son unique oasis, c’est encor sa maison. Et pourtant il s’essaie à plus de déraison En s’efforçant … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans A la maison, Amours, Les gens, Questions ? | Laisser un commentaire

La motarde

Publié le 21 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Toute gainée de cuir, et carapaçonnée Dans sa combinaison comme un varlet* d’antan, Elle vient d’enfourcher un énorme mustang : Une antique moto noire et damasquinée. Son long corps est sculpté par son lourd vêtement Que l’on dirait huilé. Silhouette parfaite, … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans Contes, La Haute Provence, Les gens | Laisser un commentaire

Le sentier farfelu

Publié le 20 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Poème illustré par un tableau de : Daniel Sannier Entre Rogne(s) et Lambesc, je connais un sentier Qui erre ça et là, qu’on dirait en goguette Tant il suit une voie qui n’a ni queue ni tête ; Un chemin fantaisiste … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans Chez nous, La Provence au coeur, Le début de l'été, Le soleil-lion | Laisser un commentaire

Chagrin d’amour…

Publié le 18 septembre 2014 par Vette de Fonclare

L’ami Pierrot a mal : sa Pierrette est partie. L’aurait-il trop déçue ? L’a-t-il trop fait attendre, Oubliant fréquemment combien elle était tendre Et l’étrange façon dont peut être bâtie Une âme féminine ? Il est seul désormais, Alors que le printemps rieur … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans Amours, Les gens, Printemps | Laisser un commentaire

La beauté du diable

Publié le 17 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Poème illustré par un tableau de : Félix Valloton (1865-1925) Perfection d’un long cou comme un long col de cygne, Epaules arrondies, épiderme si doux : Tels sont, Alexandra, les ravissants atouts Dont t’a dotée l’Enfer. Et ta beauté maligne … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans Les gens, Marseille | 2 commentaires

Le soleil fond…

Publié le 16 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Poème illustré par un tableau de : Edvard Munch (1863-1944) Le soleil qui fond sur la ville Goutte comme un métal fondu ; Un sombre silence éperdu Résonne sous un ciel hostile D’où sourd l’angoisse, et la chaleur Grésille au-dessus du … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans Le soleil-lion, Méditerranée | Laisser un commentaire

Parfois le coeur me faut…

Publié le 15 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Poème illustré par une aquarelle de : Anita Plun Parfois le coeur me faut*, et je sens le chagrin Eclosant à nouveau qui taraude mon âme. Le soleil s’est éteint. Dépourvu de ses flammes, Tel un vain lumignon il n’est … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans Amours, Questions ? | Laisser un commentaire

La pleine lune

Publié le 14 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Mes volets fermés en berceau S’entr’ouvrent sur un bout de ciel En triangle. Un joli rond miel S’y est gravé sous un arceau ; D’une forme achevée, si blonde, C’est la lune tachée de noir Dans l’inouïe douceur du soir Qui … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans A la maison, Automne | Laisser un commentaire

Et nos pays, là-bas…

Publié le 13 septembre 2014 par Vette de Fonclare

La mer est comme un coeur : elle bat, elle irrigue Vos côtes indigo et nos pays, là-bas : Ces horizons lointains qu’on ne reverra pas Car on les a quittés par trop-plein de fatigue ; Fatigués de souffrir, fatigués d’avoir faim… La … Continuer la lecture →

 
 
 
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La chanson du printemps

Publié le 11 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Poème illustré par un tableau de : Jean-Paul Fabre C’est au coeur de Moustiers qu’elle est née aujourd’hui ; Une chanson qui rit et qui tintinnabulle En dévalant les rues par millions de bulles : Des notes de folie et de joie … Continuer la lecture →

 
 
 
Publié dans Cités provençales, La Haute Provence, Printemps | Laisser un commentaire

Le village ensorcelé

Publié le 9 septembre 2014 par Vette de Fonclare

Poème illustré par un tableau de : Yokozaza Enveloppant les toits que grisaille l’hiver, Le ciel les arrondit et en use les angles ; Le voile vaporeux qui nimbe le triangle Du clocher de Peillon l’a presque recouvert. Tout est fantomatique : … Continuer la lecture →

 
 
 
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