Te voici revenu ! Où étais-tu passé ?
Ne redoutais-tu point qu’on ne se soit lassé
De tes sautes d’humeur, de ton inconséquence ?
Ton absence de cœur et ta grande inconstance
Vont faire qu’un beau jour il faudra t’effacer
A jamais de nos vies, sans en être angoissé !
Mais c’est si compliqué de gérer ton absence
Qu’on va encor pécher par excès d’indulgence…
Il est vrai que, sans toi, vivre est bien compliqué
Et fort mélancolique ! On a beau s’appliquer
A faire comme si… tu nous manques quand même,
On ne peut voir en toi un compagnon mineur
Et mieux vaut constamment penser que tu nous aimes !
Comment donc oublier que ton nom, c’est « Bonheur »…