J’aime au parc Borély aller voir le paon blanc.
Quand il déploie sa queue, tel un grand éventail,
C’est un arc de lumière, un éblouissement
Frémissant doucement sur l’étonnant vitrail
Que forme le feuillage enflammé par l’automne.
Il est tellement blanc, il est si lumineux
Qu’il semble fait de glace ; et le grand soleil jaune
Qui le fait scintiller de la tête à la queue
Paraît lui-même fade au regard du prodige…
Un rêve merveilleux jusqu’au triste moment
Où il pousse son cri, affreux jusqu’au vertige,
Effaçant sa beauté par son criaillement.
Un bien joli poème. Un grand bravo. J’écris aussi mais plutôt sous la forme de chansons qu’on peut trouver sur mon blog et quelques quartiers de la ville sont bien sûr chantés
Cordialement à vous et bonne suite pour votre écriture.
G