Poème illustré par un tableau de :
Georges Flanet
www.georges-flanet.fr
Le village est perché en haut d’un promontoire.
Passages, huis très vieux, venelles escarpées…
On arpente Gassin sans jamais se lasser :
Tout est enchantement et tout y est à voir !
Quand on arrive enfin Terrasse des Remparts,
On a le coeur qui bat, mais de ravissement :
Les Iles d’Or, la mer qui bouge en pétillant,
Et tout là-bas les Alpes captant le regard,
Les Maures au lointain : panoramique tel
Qu’on se sent tout ému face à tant de beauté…
Et puis on redescend, les yeux émerveillés,
Parcourant à nouveau placettes et ruelles
Dont la rue …« Rompe Cuou » ! Mais soudain l’on s’arrête :
Rue d’un mètre, à peu près ? On est à l’Androuno* :
Un mètre ! Pas partout… Rue interdite aux gros,
La rue la plus étroit(e) de toute la planète !
*Rue où l’on ne peut passer qu’un seul à la fois !