Posées sur le ciel noir les étoiles soupirent
Lançant dans l’Infini d’étranges signaux verts
Vers notre Terre bleue qui elle aussi aspire
A ne plus être seule au creux de l’univers.
Au coeur du grand cosmos lévitent des soleils
Perdus au fil du vide et trop inabordables
Pour qu’on ose un instant les espérer pareils.
Le temps qui nous sépare est trop interminable.
Mais peut-être le fait de les imaginer
Nous en rapproche-t-il ? Et si l’on peut rêver,
Peut-être rêve-t-on en leur monde inconnu ?
Tous ces soleils qui fuient entraînent dans leur course
Les espoirs des Humains qui par-delà les nues
Rêvent tout simplement d’atteindre la grande Ourse …