Quand l’automne s’en vient à la fin de septembre
Gommer avec douceur les ardeurs du soleil,
Il le pousse lento vers un presque sommeil
Et teinte le grand ciel de miel doré et d’ambre
Pour mieux atténuer son azur éclatant
En le rendant léger. Charmant aquarelliste,
L’automne de septembre, en exquis pastelliste,
Commence à délaver les tons trop flamboyants
De l’été triomphant qui lentement décline.
Couleurs ocrées partout ; la nature jaunit
En se pastellisant de tons indéfinis,
Avant de regimber en teintes arlequines
Au mitan de novembre. Avenant et aimable,
L’automne de septembre est délicat et doux,
C’est le plus joli mois aux entours de chez nous,
L’un des plus prévenants et l’un des plus affables.
Il ne fait plus trop chaud ; il adoucit le temps
Tiède comme il le faut et juste comme on l’aime,
Un temps presque parfait où plus rien n’est problème ;
Septembre quelquefois fleure bon le printemps !
il s’agit de quel poème fin- septembre ? Idem pour le tableau ?
Il faut taper : fin septembre – sans tiret entre les deux mots !