Poème illustré par un tableau de :
Jean Montemont
www.jean-montemont.fr
Débardeurs de coton colorés et légers
Sentant si bon le propre et le printemps nouveau,
D’où fusent l’harmonie de bras un peu palots
Et la grâce infinie de jeunes cous ployés ;
Et shorts mini-minis en haut de longues cuisses
Trop minces, fuselées et encor en attente
D’un soupçon de bronzage sur la peau qui s’enchante
Des tout premiers rayons d’un chaud soleil complice.
Tout petits bouts de jupe et soupçons de tissu
Ne cachant presque rien de cette vénusté
Que nous nous enchantons de retrouver en mai.
Jeunes filles en fleurs s’avançant presque nues
Avec une candeur légèrement perverse,
Ignorant très souvent combien elles sont belles.
Mais dans leurs frais atours les gracieuses donzelles
Poussent des cris aigus à la première averse.
Merci beaucoup pour avoir choisi une peinture de mon oncle pour illustrer votre site.
C’est moi qui remercie votre oncle : sa peinture correspond si bien à mon poème !