Poème illustré par un tableau de :
Vincent Honnoré
www.honnore-peintre.com
Quand souffle sur la ville un petit vent mauvais,
Un vent malodorant empreint de racontars,
De on-dit stupéfiants qui semblent canulars
Tant ils sont immoraux, on se sent écoeuré :
Comment pourra-t-on dire qu’on est Marseillais ?
Et c’est encore pis quand les cancans s’avèrent
Absolument réels ! Indignation sévère
Pour qui aime Marseille et ses nombreux attraits !
Le flux n’arrête pas : nouveaux scandales, grèves,
Chantages menaçants et combinaisons louches…
On peut vous en conter, des milliers, à la louche,
Qui éclaboussent tout, resurgissant sans trêve…
Impression de dégoût ! C’est sûr : on va partir…
Et puis le printemps vient ; le soleil peint en bleu
Les petits ports dorés par un ciel lumineux.
L’on est de nouveau pris… et l’on va réfléchir !
Pouvez-vous modifier l’adresse de mon site Web ?
La nouvelle adresse est : http://www.honnore-peintre.com
Merci.
C’est fait !
Bon week-end