Le Bouddah Phap Hoa

J’étais à Saint-Joseph quand soudain, interdit,
J’ai vu sur la colline un Bouddah tout doré
Tout près d’une pagode au toit rouge effilé !
Quartier de la Savine, un Bouddah… inédit !

Il surplombe la route et vous attend serein :
Son beau visage rond n’est que béatitude ;
Alentour dans le parc une douce quiétude,
Toute tranquillité, vous gagne et vous étreint.

Partout disséminées, des statues du Bouddah
Jalonnent le jardin, contant sa destinée ;
Derrière la pagod(e), mollement allongée,
Une statue couchée invite au nirvana.

*Poème offert au moine Tich Tien Dinh

A propos Vette de Fonclare

Professeur de lettres retraitée, a créé un site de poèmes dits "classiques", pratiquement tous voués à la Provence.
Ce contenu a été publié dans Marseille. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *