J’étais à Saint-Joseph quand soudain, interdit,
J’ai vu sur la colline un Bouddah tout doré
Tout près d’une pagode au toit rouge effilé !
Quartier de la Savine, un Bouddah… inédit !
Il surplombe la route et vous attend serein :
Son beau visage rond n’est que béatitude ;
Alentour dans le parc une douce quiétude,
Toute tranquillité, vous gagne et vous étreint.
Partout disséminées, des statues du Bouddah
Jalonnent le jardin, contant sa destinée ;
Derrière la pagod(e), mollement allongée,
Une statue couchée invite au nirvana.
*Poème offert au moine Tich Tien Dinh